Dépôt remarquable
- Détails
Jeannine M. est la grand-mère du déposant, qui nous a également confié les films de son arrière grand-père, qui a commencé à filmer dans les années 20, et dont vous pouvez voir quelques films sur la page dépôt remarquable: famille Nouyrit
Jeannine M. est née en 1917. Elle a vécu à Bayonne et à Paris et était documentaliste. Elle commence à filmer en super 8 dans les années 80, essentiellement des films de famille, avec ses enfants et petits enfants. Mère de 5 enfants, elle avait de nombreux instants familiaux à documenter: les journées à la plage au bord de l'Atlantique, les vacances de Pâques, le jardinage en famille... La plupart de ses films sont de véritables films de grand-mère: la caméra est concentrée sur les activités des enfants et de la famille, avec une attention particulière pour les jeux d'enfants.
- Détails
Lisette, Lison et Jacqueline L. sont trois sœurs cinéastes amateur, qui ont filmé entre 1957 et 1981 leur vie quotidienne et leurs voyages, au Gabon, au Maroc, en Espagne, puis en Provence à leur arrivée à Marseille. Leur quatrième sœur, Liliane, n'a pas filmé, mais on la voit dans les films de ses sœurs, notamment au Maroc, avec son mari Shanio.
Lisette et Lison sont jumelles, nées en 1919 à Alexandrie. Jacqueline, elle, est née en 1929, dans cette même ville de voyageurs qui les destinait à parcourir le monde.
Lisette et Lison étaient assistantes sociales, elles ont travaillé pour la Croix Rouge au Liban pendant la 2nde Guerre Mondiale. Elles retournent ensuite au Liban à plusieurs reprises: en 1967 et en 1979, elles ont cette fois le loisir de filmer le pays et les connaissances qu'ils y retrouvent.
- Détails
Anet Merilhou-Paris a fait don à Cinémémoire de ses films tournés en 8mm entre 1967 et 1982.
Elle a découvert Cinémémoire via un appel à films publié dans l'écho de l'amicale de l'UTA, compagnie aérienne pour laquelle son père, Raymond Merilhou, était mécanicien à Douala au Cameroun, de 1954 à 1960. On le retrouve en 1967 filmé par sa fille à l'aéroport d'Abidjan, où il était chef mécano.
La mère d'Anet, Mady Merilhou, était institutrice à l'école payante de Marcory. Anet a étudié au collège public à Cocody, dans une classe de 61 élèves. En 1968 et 1969, elle filme l'école des petits et ses carnavals.
Elle filme ainsi tous les lieux d'Abidjan où la famille vit, travaille, et se détend : Treichville, l'immeuble d'Air Afrique, le port, la plage...
- Détails
Christiane Nicoud, dont les films nous ont été déposés par la Cinémathèque de Marseille, a acheté sa première caméra dans les années 50. Elle commence à filmer en 8 mm à partir de son deuxième mariage, et réalise quelques films amateurs et de famille en Provence. Ses enfants sont déjà grands: sa fille, Eliane, a 18 ans lorsque sa mère la filme en 1954, habillée en arlésienne, dans une évocation de Mireille, l'œuvre poétique de l'écrivain Frédéric Mistral, en langue provençale.. Nous n'avons pour trace qu'une copie VHS de ce film.

- Détails

- Détails
M.Pasquetto le père du cinéaste est né en 1921 à Marseille, et décédé en 2012. Il a exercé la profession de droguiste à Marseille en reprenant le magasin familial puis il est devenu employé de banque à la caisse d'épargne. C'est un cinéaste autodidacte qui à commencé à filmer à l'age de 25 ans, il faisait aussi de la photographie. Il a appris les techniques dans divers magazines de photo et cinéma, d'abord avec sa caméra super 8 puis en video. Il faisait parfois pister ses films pour les sonoriser à partir du projecteur. Sur ces images des ses films sonores ont voient sa famille, entrains de diner, chanter et s'amuser autour de jeux ou faire la traditionnelle pétanque ! Ainsi que des images lors du carnaval et danses traditionnelles provençal. Ces films, sont remplis de joie et font émerger nos propres souvenirs de ces moments de partages en famille.

- Détails
Gabriel Torvoni, éleveur de moutons à Istres, a acheté une caméra 8 mm en 1959 dans la boutique de monsieur Gouverneur, le photographe de la ville. Il filme la vie dans l'exploitation familiale: sur la photo ci dessus, son beau-père, Clément Trouillard, dont les moutons portent l'initiale CT, aide une brebis à mettre bas. Dans le film, on le voit ensuite faire sentir son agneau à sa mère, pour qu'elle le reconnaisse. Gabriel Torvoni documente tous les moments marquants du travail d'éleveur: les fenaisons, la tonte, le départ pour les Alpes... Mais aussi ses passions: les courses automobiles et les chats...

- Détails
Esprit Coste a fait l'acquisition d'une caméra 9,5 mm au début des années 30. Il organisait des projections dans le café qu'il tenait près du port de Marseille, sur la Rampe Saint Maurice, pour le plus grand plaisir de ses clients, voisins et amis. Son fils, Roger Coste, a lui aussi filmé avec cette petite caméra, qui fonctionne encore aujourd'hui, avant de s'équiper d'une caméra super 8. Petite sélection de films tournés par Esprit Coste, au café de la Rampe Saint Maurice, au cabanon de Callelongue, en excursion dans la campagne provençale et au hameau de La Farette, dans la Drôme, où la famille passait ses vacances d'été.

- Détails
Dans le cadre de nos actions sur la commune d'Istres, avec le projet Enreg#Istres ainsi que nos Appels à films, nous avons été contactés par une habitante, Madame Annie Clerc.
Madame Clerc possède une collection de vielles bobines et autres films de famille qu'elle a décidé de faire numériser par Cinémémoire: