Ahmed Zir
Réalisateur algérien indépendant  depuis 1979, il a réalisé plus de 45 films en super 8 et reçu plus de 35 prix nationaux et internationaux notamment en Tunisie, aux USA, en Belgique et en France.Ahmed Zir se définit comme un «cinéphile et cinéaste indépendant». Enseignant depuis 1972, il a écrit pour la revue de cinéma tunisienne Le 7ème Art et a participé à l’émission radiophonique algérienne Cinérama. Cessez-le-feu est son premier court-métrage en numérique.
Voici quelques extraits des nombreux articles parus à propos de son oeuvre :
portrait-Ahmed-Zir-Algérie
Faucon d’or pour « Repères » de Ahmed Zir :
« En 16mn et en recourant à l’image et rien que l’image, Ahmed Zir a réécrit toute l’histoire et à travers elle celle de l’humanité entière. Par la beauté de la musique et de l’image « Repères » est un poème d’amour lucide dédié à l’Algérie. C’est aussi la recherche d’une nouvelle forme d’écriture cinématographique qui n’est ni de la fiction ni du documentaire. (...) »
Rachida Ennaïfer
Algérie :
« (...) Ahmed Zir, cinéaste prolifique, est tout aussi étonnant que déroutant. Comme il le dit, le cinéma englobe tous ses désirs. Construits autour du « je », ses films sont à la fois le reflet d’un jeu subtil entre la fiction et l’expérimentation (...) »

Du militantisme au formalisme :

« (...) Ahmed Zir, l’un des rares à allier le discours à la forme, ce qui lui valu une certaine méfiance, car certains trouvaient ses films hermétiques alors qu’ils étaient seulement ... différents ».                               
Joseph Morder, Cinéma 83

11° festival international du film non professionnel à Kelibia :
«(...) Petro Satana confirme la valeur de ce cinéaste amateur algérien que le Festival de Kélibia a déjà consacré dans son avant dernière session. En plus de la programmation d’un de ses derniers films dans la compétition officielle, un hommage spécial lui a été rendu par la projection d’un certain nombre de ses films ».
R.E.
Loin au milieu des flots
« (...) Ahmed Zir et ses copains sont de sacrés nageurs. Alors que beaucoup se contentent encore des bords de l’eau, eux, n’hésitent plus depuis des années déjà, à se jeter loin au milieu des flots ».
Azzedine Mabrouki
Dixit :
« (...). « Je pense que mes films sont à la fois de la fiction, expérimentaux philosophiques mais en tous cas visuels ». Fidèle inconditionnel du Super8, sculpteur et peintre quand il ne tourne pas ou n’enseigne pas, Ahmed Zir poursuit « (...) mon souhait le plus cher est de pouvoir organiser le prochain festival National et International dans une université du pays » ».
Jour et nuit, Super8.
Recherche et originalité :
« Interroger la douzaine d’œuvres réalisées en 5 ans, par Zir, c’est prendre langue avec une thématique dont les points d’appuis sont irrigués par des préoccupations à substrat philosophique, social et politique, (...). »
El Moudjahid
Prix :
« Au termes du palmarès qui a sanctionné le festival, le premier prix a été attribué à Ahmed Zir, de Sétif, pour son film « L’Aurore » traitant du thème de la culture nationale. »
El Moudjahid
Un amateur sur le podium :
« Rejetant la discrimination « cinéaste-amateur, cinéaste-professionnel », passionné de cinéma depuis son jeune âge, il s’est créé son propre oasis en réalisant de nombreux films inventifs et lucides, doué d’un sens poétique superbe qui lui a valu d’être remarqué dans de nombreux festivals de cinéma ».

Thoughts on Super8 :
« The themes of my own films come from my philosophical and social understanding, placed in a universal context, yet the themes also resonate with the current realities of my country. I use symbolic objects such as bicycles and playing cards to carefully construct a cinematic story.(...) ».
Ahmed Zir