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Film d'actualité
836 séquences en 168 pages
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UNION PATRONALE OCCUPE PAR LES CHOMEURS - REACTIONS AU DISCOURS DE LIONEL JOSPINDes chômeurs dans les locaux de l'union patronale à Marseille. Les gens sont assis dans les escaliers, éteignent leurs cigarettes dans les pots de fleurs, parlent. Le représentant CGT est au téléphone avec quelqu'un dans l'un des bureaux. Les gens rient, sortent du bureau. Les gens boivent des café, parlent entre eux, debout dans les couloirs. Une plaque "Union Patronale Régionale PACA". Dans l'entrée, des caméraman de M6 interviewent un homme en costume. Des chômeurs sortent, la porte est verrouillée derrière eux. Les chômeurs chantent des slogans. Un Panneau "UP13, Union Patronale des Bouches-du-Rhône". La grille est baissée. Un homme parle à quelqu'un hors-champ en essayant d'ouvrir la porte. Les gens crient des slogans en riant dans l'ascenceur. Un homme en costume (un policier ?) parle avec le représentant CGT. Les gens sortent, accompagnés au dehors par les hommes en costume. Dans les locaux de l'UP Bougainville, les chômeurs écoutent la radio. Un homme lit un tract : "Tous ensemble !! Chômeurs, salariés, retraités, nouvelle manifestation nationale pour : la prime de 3000 francs pour les chômeurs - le rétablissement du "FONDS SOCIAL" - un nouveau système d'indemnisation chômage - imposer la création massive d'emploi -> rendez-vous à Marseille Mardi 13 janvier à 11h00". Les gens parlent autour de tables, des hommes et des femmes, des cafés sur les tables. un homme lit le journal. Un poste radio passe les nouvelles, des informations sur Maurice Papon. une personne remplit sa demande d'aide matérielle de fin d'année. une banderole "vous m'imaginez moi aussi au chômage à 20 ans ?". Une tv passe les nouvelles sur la lutte pour les droits des chômeurs. Les occupants regardent la télévision. Lionel Jospin prend la parole, annonce les mesures. Les chômeurs commentent la prise de parole au court de celle-ci. Un fond d'urgence sociale d'un milliard de francs sera créé. Après la prise de parole, les chômeurs et représentants syndicaux interviewé mettent en avant le fait que les mesures prises sont insuffisantes.
Date : 7 janvier 1998
Géographie : Marseille
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Avalanche Les Orres 1eres réactionsUn flanc de montagne dans le noir. caméraman moustachu. La neige, dans la nuit, des ambulances passent sur la route les unes après les autres, les gyrophares allumés. des hommes, en lignes, sondent la neige, font un pas en avant, sondent. Ils ont des visages inquiets. Lumière rouge sur la neige, des militaires assistent les sondeurs. Un hélicoptère de l'armée de l'air décolle. des sauveteurs en ski en bas des pistes, ils discutent avec des volontaires. Un volontaire est interviewé, il parle de la difficulté de cette avalanche. on parle de 18 décès. "un lourd bilan". un sauveteur avec un téléphone portable et un chien. On pose les questions sur le nombre de sondeurs. Un autre homme parle de la difficulté du travail, et des moyens déployés. un hélicoptère de sécurité civile, rouge, décolle. Un corps est transporté dans une tente sur un brancard. un chien abois. un autre corps transporté, chargé dans une ambulance. un hélicoptère décolle. des hommes s'occupent de leurs chiens, on voit des hélicoptères et des ambulances, les sauveteurs et volontaires ESF s'affairer. un homme interviewé décrit les tenants de l'avalanche. Les conditions météo en auraient été la cause.
Date : 23 janvier 1998
Géographie : Hautes-Alpes-05
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Les Orres AvalancheLes Alpes vus d'hélicoptère. Le sol blanc, les lumières de la station de ski, les camions de pompiers et les ambulances allignées. La montagne enneigée. Sur le col, des gens. Le télésiège. Des sauveteurs en groupe, en pleine montagne. La station de ski de nuit, vue du ciel. l'hélicoptère se pose. Un brancard en est sorti par des pompiers. Les sauveteurs en attente. Alain Walmetz, le préfet des Hautes-Alpes, est interviewé. Il rappelle les faits, 32 personnes prises dans une avalanche. Il parle des moyens acheminés pour le secours des victimes. La nuit encore, un chien aboie, un hélico se pose. Des secouristes en tenue orange en bas des pistes, l'un d'entre eux sort d'un hélicoptère sécurité civile. Deux secouristes discutent du nombre de victime restant en haut des pistes. Des secouristes passent en tenant un brancard vide. (son sans image : bruits de pas, appel téléphonique entre les membres de l'équipe de télévision, parle de logement). Un homme parle face à la caméra. Coupe, son sans image. Le présentateur finit sa phrase, on voit les défilés de sauveteurs accompagnés de chiens pour les recherches. une camionette rouge avec un panneau "centre de commandement", à côté d'une tente jaune. Le préfet est encore interviewé. Une femme est interviewée, entourée de micros.
Date : 23 janvier 1998
Géographie : Hautes-Alpes-05
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Les Orres Avalanche Station ChevènementUn homme en costume, sur la station de ski, parle avec eux sauveteurs de haute montagne. On entend pas ce qu'ils se disent. L'homme en costume tient un talkie-walkie dans sa main. Un CRS de la brigade sinophile fait courir un chien. Interviewé, l'homme raconte l'opération de sauvetage et le rôle des chiens dans cette dernière. Il raconte l'atrocité de la situation. derrière lui, des sauveteurs et des camionnettes. Il retourne s'occuper et cagoler ses deux chiens. Il s'appelle Roger Chaix. Un hélicoptère militaire se pose. En groupe, debouts, des sauveteurs discutent. Les montagnes en fond. Des pompiers à côté de leurs véhicules, casquette rouge, des militaires en vert. Un télésiège en fonctionnement, des gens montent, la station marche encore. Un skieur et ses enfants sur les pistes. Des skieurs sur les pistes. Interview d'un usager des pistes, qui n'a pas entendu parler de ce qui s'est passé. Il raconte qu'il fait un peu de hors-piste. un panneau "Attention, risque d'avalanche". Atterrissage d'un hélicoptère. La station, vue de loin. Arrivée de Jean-Pierre Chevènement, entouré de journalistes et de caméras. Il serre la main d'un sauveteur, qui se présente. On apprend que l'armée de terre, les CRS de Briançon et de Grenoble ont participé, avec 8 hélicoptères. Le ministre de l'intérieur fait le tour des sauveteurs, pisteurs, armée. Il serre des mains, discute avec les responsables. Tous les sauveteurs, en ligne. Deux hélicoptères arrivent. Chevènement qui écoute les personnes autour de lui, serre la main de la brigade de pompiers. Il parle avec un moniteur ESF. Interview de Jean-Pierre Chevènement. Après son interview, ayant salué un élan de solidarité ayant permis de sauver des vies humaines, il monte dans un hélicoptère de gendarmerie.
Date : 24 janvier 1998
Géographie : Hautes-Alpes-05
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Les Orres, Avalanche, Jospin, RoyalUn gendarme devant une porte d'entrée d'immeuble, de nuit. Une femme passe (assez sombre). Le gendarme garde l'entrée, des caméras tout autour de lui. Un attroupement de personnes devant les grilles d'un bâtiment. Des gendarmes fraient un passage dans la foule pour des officiel, suivis de Lionel Jospin, premier ministre. Il s'exprime devant les caméras, parle de l'affaire. Il s'en va ensuite, suivi de gendarmes et des équipes de télévision. Ségolène Royal, derrière lui, prend ensuite la parole, avant de rentrer dans la même voiture que Lionel Jospin. On entend un caméraman dire "Veut mieux avoir affaire au ministre qu'au gendarme, hein ?"
Date : 24 janvier 1998
Géographie : Hautes-Alpes-05
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